Sèche les cours /!\Ares/!\

Katharina était dans le bureau du directeur. En effet, il y a quelques heures, Chuck et elle commençait vraiment a se crêper le chignon en potion. N'arrêtant pas de s'insulter, lançant des sarcasme au gens qui essayait de les séparer. Et oui, la complicité en matière de sarcasme avait toujours lier Chuck et la jeune femme. Son Ex étant le meilleur en potion, il insistait sur la manière de faire telle potion, ou telle celle-ci. Plus Katharina l'obstinait, plus il devenait rouge. Et inévitablement, cela finissait en «Tu m'as laisser, comme un idiot en agissant comme un idiot!» et il répliquait « T'avais juste a pas me tromper!» Et elle répondait glaciale « Je ne t'ai jamais tromper endouille! tu voulais juste être libre comme l'air.» Et Chuck murmurrait un « A ouais ... jme suis tromper d'Ex.» Bref. Le professeur avait essayer de les distancer, mais plus il essayait, plus ils parlaient fort. La conversation entre les deux Exs, finit avec une gifle de la part de Katharina. Le professeur les sépara et déclara qu'il n'avait jamais vu ça en 15 ans d'enseignement. Katharina hausa les épaules ce qui eu pour effet de faire déborder le vase. Le professeur de potion l'envoya chez le directeur.

Maintenant, Katharina tapait du pied impaiente. Le directeur, que son prof aimait tant, était en réunion importante avec son personel. La colère bouillonnait encore dans le coeur de la jeune femme, alors elle se leva d'un bond, ne jetant qu'un coup d'oeil désinteresser a la déco et partit. Elle marcha dans les corridor, sous les sarcasme des Gryffondor, les poufsoufle et des Serdaigles, descendit les marches quatre à quatre. Elle ouvrit les lourdes portes, fermer pendant les cours, car oui Katharina, la jeune fille qui plait a tout les professeur, en avait marre de jouer un rôle. Elle continua a marcher d'un pas précipiter, et ne recommença a marcher normalement que lorsqu'elle fut rendue au lac. Elle regarda le lac froid, qui au mois de Septembre devait être complètement geler. Elle entendit des pas et se retourna subitement, ayant peur que ça soit un professeur.

Invité

Ce que je haïssais la divination. Avait-on déjà vu une matière plus stupide et inutile que cette pseudo science de la voyance ? Techniquement, je n’étais plus obligé de subir cette option, mais je m’y étais accroché, sans savoir pourquoi. C’était stupide en un sens, je n’aimais pas cela, je pouvais m’en passer, mais je l’avais néanmoins conservé, peut être avec l’espoir qu’elle s’arrange avec les années, ou qu’elle me soit utile. Je reconnais le côté très aléatoire de la chose, mais j’avais bon espoir que la divination puisse finir par aider mes intérêts. Ce qui n’était pas le cas. Cela me prenait plusieurs heures par semaines, pour des résultats de l’ordre du T. Oui, disons-le sincèrement, en divination, j’étais un véritable Troll et je ne m’en cachais pas. Mon professeur pensait que c’était dû à mon manque de conviction en la matière. C’était possible. Je ne croyais qu’en moi-même, et contrairement à ce que l’on pouvait penser, je ne m’étais jamais accordé le luxe de me décevoir. Bien au contraire.

J’en sortais désormais, et mes pas se hâtaient. Je ne tenais pas à m’éterniser en ce haut lieu d’une hauteur égale en inutilité, et mon professeur de divination me somma de noter les devoirs à réaliser pour le prochain cours. Je ne sus jamais ce qu’il me faudrait faire pour le cours suivant, puisque je pris toute mon audace à deux mains, et je m’en allais sans aucune considération pour mes arrières. Les cours avaient le don de m’exaspérer aujourd’hui, mais ce n’était pas nouveau, ils ne me plaisaient jamais. Défenses contre les forces du mal m’avait plus ou moins séduit, et j’avais été intéressé par la métamorphose, mais la divination avait eu le don de me gâcher tout bon plaisir, et ce n’était ni botanique ni histoire de la magie m’attendant l’après midi qui allaient relever le niveau de mon humeur.

Je sortis donc, pour m’aérer l’esprit. Il faisait particulièrement mauvais aujourd’hui, et le froid tenait une bonne partie du parc au creux de sa main. Je préférais aller faire un tour, peut être du côté de la Forêt Interdite, mais, en tous les cas, loin du château. Peut-être n’irai-je pas en cours ? Je n’en savais encore rien, et peu importait. Mes pas me hasardèrent dans le vaste parc de Poudlard, jusqu’à ce que je gagne le lac. Je n’aimais pas cet endroit, que je trouvais trop calme pour être agréable. Cependant, je remarquai bien vite que je n’étais seul à m’y être invité. De dos, je ne pus savoir de qui il s’agissait, mais mes pas l’avertirent de ma présence, et j’eus une pointe de déception, que l’on sentit aisément dans ma voix et mon air neutre :

- Katharina …

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